Bio MCUP

ARTWORKS

Maria-Carmen Perlingeiro est née le 21 octobre 1952 à Rio de Janeiro dans une famille de cinq enfants. Elle vit et travaille à Genève. 

A étudié à l’Ecole des Beaux-Arts de l’Université Fédérale du Rio de Janeiro et est diplômée de l’Ecole Supérieure des Arts Visuels, où elle enseignera plus tard. Dans les années 80, elle s’installe à New York et étudie à l’Art Student’s League. Elle commence à travailler l’argile, mais lors d’une visite de l’atelier de Sérgio Camargo à Massa-Carrara en Italie, Maria-Carmen Perlingeiro tombe amoureuse de la densité, de la résistance et du poids du marbre. Dans les années 90, elle découvre l’albâtre à Volterra en Toscane, dont la transparence et les strates ondulées donnent lieu à une série d’œuvres telles que Lunatiques, Montagnes et Piercings. L’artiste participe à de nombreuses expositions individuelles à Rio de Janeiro, São Paulo, Paris et Genève. En 1996, elle remporte le premier prix ex-aequo du concours international organisé par la banque Darier Hentsch & Cie pour le bâtiment de l’UNI Dufour, en compétition avec 249 artistes venus du monde entier.
En 2000, elle reçoit le premier prix du concours « Lausanne Jardins 2000 », avec l’aménagement paysager des Lances d’Uccello. En 2005 elle installe ses « Objets flottans » sur la Fontaine de San Felice (1319) à Volterra. En 2006, Maria-Carmen Perlingeiro organise au Paço Imperial de Rio de Janeiro son exposition solo « Le monde merveilleux des objets flottants ». En 2007, l’éditeur suisse InFolio publie un livre avec des textes de Ronaldo Brito et Michael Jakob, qui reprend sa production depuis les années 80. Toujours en 2007, elle expose à l’Espace Topographie de l’Art à Paris. En 2008, elle inaugure une exposition individuelle à la Pinacoteca Civica de Volterra, en Italie. Elle participe, en 2009, à l’exposition « La beauté de l’erreur » à la LX Factory de Lisbonne. En 2012, elle réalise l’exposition « Luz de Pedra » (Sculpture et rayonnement) au Musée d’Art Moderne de Rio de Janeiro, organisée par Cristina Burlamaqui, avec un livre et des textes de Pierre Daix, Cristina Burlamaqui et Lionnel Gras. En 2016 elle expose « La Maestà » chez Simon Studer Art à Genève.